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30 avril 2025
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3 min de lecture
Chaque jour, des milliers de parents font attention à ce que leurs enfants mangent, aux écrans qu’ils regardent, aux jeux qu’ils utilisent. Mais peu se doutent que l’un des lieux les plus sûrs de la maison — leur lit — peut devenir une source invisible de pollution.
Une étude scientifique canadienne, publiée en mars 2025 dans la revue Environmental Science & Technology Letters…, révèle que l’environnement de sommeil des jeunes enfants est l’un des endroits les plus exposés aux substances chimiques préoccupantes. Et le premier responsable, c’est souvent… le matelas.
Menée auprès de 25 foyers avec des enfants de 6 mois à 4 ans, cette étude a mesuré, pendant une semaine, les substances présentes dans l’air des chambres et plus précisément dans la zone de sommeil (le “SME” : sleeping microenvironment).
Résultat :
30 à 50 composés chimiques différents ont été détectés dans presque tous les échantillons.
Les concentrations étaient bien plus élevées autour du lit que dans l’air ambiant de la chambre.
Parmi les substances identifiées :
Source : Stockholm Convention, Health Canada, ECHA.
Ces composés ne sont pas collés de façon permanente aux objets : ils sont ajoutés “en surface” et peuvent s’échapper, notamment via les mousses synthétiques, les housses plastifiées ou les alèses imperméables.
📖 Lire l’étude complète (en anglais)
Le corps des tout-petits est plus sensible à la pollution que celui des adultes :
Ils respirent plus rapidement (jusqu’à 2 fois plus que nous à poids égal).
Leur peau est plus fine, plus perméable.
Ils passent jusqu’à 18 heures par jour dans leur lit, souvent en contact direct avec matelas, doudous et draps.
Certaines substances identifiées dans l’étude sont associées à des effets sur la santé dès le plus jeune âge :
Et contrairement à ce qu’on pourrait croire, ces substances ne sont pas indispensables pour garantir la sécurité d’un matelas : les normes anti-feu, par exemple, peuvent être respectées sans ajout de retardateurs chimiques.
L’étude ne recommande pas de paniquer, mais de réduire l’exposition évitable, notamment :
Et surtout : vérifier les matières qui composent le matelas.
Des études ont montré qu’un simple changement de matelas ou de literie peut réduire significativement l’exposition aux COVs en quelques jours ou semaines. Le fait de laver les textiles à haute température ou de retirer certaines mousses plastifiées a un effet direct sur la qualité de l’air dans la chambre.
Source : Dodson et al., 2019 ; Saini et al., 2017.
Chez Kipli, ce n’est pas une découverte. C’est même l’une des raisons pour lesquelles nous avons conçu nos matelas autrement dès le départ.
Nous n’utilisons aucune mousse plastique, aucune colle, aucun traitement chimique.
Nos matelas pour enfants sont fabriqués à partir de latex 100 % naturel, recouverts d’une housse en coton biologique, lavable, douce, sans plastique ni enduction.
Parce qu’un bon matelas, c’est aussi un matelas qu’on peut respirer.